La lettre du Guide du Ciel

N° 13 | 13 mars 2008

Si vous lisez cette lettre régulièrement, n'oubliez pas qu'elle ne constitue qu'un complément à mes différents ouvrages. Si vous ne les connaissez pas déjà, je vous invite à les découvrir sur le site d'amds-édition.

La plupart des textes, des illustrations, des cartes et des schémas qui suivent sont extraits du Ciel à l'œil nu (Nathan) et du Guide du Ciel (amds), deux livres annuels dans lesquels vous trouverez encore plus de renseignements pratiques et de phénomènes à admirer !

La Station spatiale internationale, la navette Endeavour, que l'on voit ici lors de son décollage le 11 mars, et l'ATV Jules Verne seront visibles une à plusieurs fois par jour en fin de nuit en Europe jusqu'au 21 mars.
© Martin

Jusqu'au 21 mars, un à deux passages de la Station spatiale internationale (ISS) seront observables chaque jour en fin de nuit en France métropolitaine et, plus largement, en Europe. L'ISS sera de nouveau facilement visible, mais en début de nuit, de la fin mars à la mi-avril.

La navette spatiale américaine Endeavour ayant été lancée le 11 mars à destination de l'ISS, de très beaux passages de cette paire spatiale seront facilement visibles durant toute la mission. Les phases d'approche et de séparation sont, notamment, particulièrement spectaculaires à observer.

L'ATV européen est également visible sans peine durant cette période.

Pour savoir précisément où et quand observer ces survols, consultez le site Heavens-above. En vous inscrivant (c’est gratuit), vous pouvez mémoriser des points d'observation différents et obtenir rapidement des cartes et des horaires de passage très précis. Le site d’Alphonse Pouplier donne aussi des horaires de passages :

Le site d'Alphonse Pouplier
Heavens-Above

Dans la nuit du vendredi 14 au samedi 15 mars 2008, le Premier Quartier de Lune s’approche à près d’un degré de la planète Mars. Vers minuit, les deux astres surplombent Orion et le Taureau, deux constellations qui vont poursuivre leur lutte immuable derrière l’horizon occidental.

Dans la nuit du vendredi 14 au samedi 15 mars 2008, vers onze heures ou minuit à votre montre, si vous vous placez face à l’Ouest, vous assisterez à l’issue d’un combat titanesque. Orion, le célèbre chasseur, parvient enfin à repousser le Taureau derrière l’horizon.

L’animal sauvage semble tituber et basculer en arrière alors qu’Orion se penche, levant sa massue loin au-dessus de la tête du mythique bovidé. Drame céleste un million de fois rejoué, mais drame qui, cette nuit, possède deux spectateurs privilégiés : Mars et le Premier Quartier de Lune qui surplombent la scène d’une vingtaine de degrés.

Ces deux astres ne sont séparés que par un petit degré, ce qui permet de les observer ensemble dans certaines lunettes à grand champ. Si l’éclat martien a fortement diminué au cours de ces dernières semaines, il demeure cependant impressionnant et surprend par sa stabilité, comme s’il n’était pas touché par la turbulence atmosphérique qui fait pourtant scintiller Bételgeuse, Aldébaran et les étoiles alentours. Le diamètre apparent de la planète est, en effet, encore suffisant pour gommer les micromouvements qui agitent l’air et nous les cacher à l’œil nu.

Le mardi 18 mars, une heure et demie après le départ du Soleil, vous n’aurez aucune peine à retrouver la Lune et Saturne. Les deux astres dominent l’horizon oriental d’une trentaine de degrés et leur éclat permet de les repérer dans un ciel que la nuit n’a pas encore complètement envahi.

Entre la Lune, fortement gibbeuse, et Saturne, scintille le petit point de Régulus du Lion. Au cours de la nuit, notre satellite glisse vers cette étoile, leur séparation apparente passant de six degrés à moins de trois degrés.

Mercredi 19 mars au soir, la Lune pratiquement pleine se retrouve à près de cinq degrés au sud-est de Saturne et les deux corps traversent le ciel ensemble au cours de la nuit. Ils se couchent le 20, vers 6 heures du matin, à votre montre, soit environ une heure avant le jour.

Phénomène assez rare pour être signalé : en France métropolitaine, le Soleil se lève cette année pratiquement à l’instant de l’équinoxe de mars, qui marque le début du printemps dans l’hémisphère Nord. Son disque apparaît donc exactement à l’est le 20 au matin !

Jeudi 27 mars, à l’orée de l’aube, la bien belle figure céleste du Scorpion se dresse fièrement au-dessus de l’horizon sud, tout comme en été aux premières heures de la nuit.

Si votre site d’observation est à plus de 45° de latitude nord, il vous manquera quelques étoiles pour dessiner le Scorpion mais, quelle que soit votre latitude en Europe de l’Ouest, vous pourrez admirer les pinces de cet animal céleste et l’étoile Antarès.

Ce jeudi 27 mars, la Lune gibbeuse décroissante est installée à moins de trois degrés sur la droite de cette supergéante rouge. Si l’on remplaçait notre Soleil par Antarès, le diamètre de la nouvelle étoile dépasserait l’orbite de la Terre !

Proche du terme de son évolution stellaire, Antarès pourrait un jour exploser en supernova et briller plus vivement que la Pleine Lune pendant quelques semaines. L’événement peut se produire ce soir… ou dans un million d’années !

30 et 31 mars | Une seconde Lune pour Jupiter

Dimanche 30 et lundi 31 mars, la plus grosse planète du système solaire reçoit pour une seconde fois la visite de la Lune en moins d’un mois.

Le 30 mars, juste avant l’aube, notre satellite vient d’afficher son Dernier Quartier lorsqu’il s’installe à quelque huit degrés sur la droite de Jupiter. La conjonction entre ces deux astres se produit une douzaine d’heures après et n’est pas visible en Europe.

Il faut attendre la fin de la nuit du 30 au 31 pour retrouver Jupiter au-dessus de l’horizon sud-est, la Lune se situant alors à six degrés au-dessous d’elle.

Au début du printemps, ces observations matinales se pratiquent à une heure « décente » – vers 6 heures du matin – et nous donnent un avant-goût de l’été. La révolution de la Terre autour du Soleil nous permet en effet de contempler, fin mars avant l’aube, le même horizon sud que le soir au début du mois de juillet.

Le Sagittaire et le Scorpion s’exposent fièrement à nos regards et, dans quelques jours, lorsque le croissant de Lune aura déserté les lieux, le renflement central de la Voie lactée imprimera sa marque phosphorescente sur les ciels dégagés de toute pollution lumineuse.

Le vendredi 4 avril à l’aube, quarante-cinq minutes avant que le disque solaire n’entame sa traversée du ciel, vous pouvez tenter de discerner la fine parenthèse du croissant lunaire, un peu moins de quarante-huit heures avant la Nouvelle Lune.

En théorie, ce croissant est aisément visible à l’œil nu ; cependant, selon la transparence de l’atmosphère, vous risquez d’avoir quelque peine à le déceler, car il se situe à moins de 2° de hauteur au-dessus de l’horizon oriental, ce qui représente à peu près l’épaisseur de votre pouce bras tendu devant vous.

Laissez passer la conjonction Lune-Soleil et, le lundi 7 avril, une heure après la fin du jour, retrouvez l’arc lunaire à une dizaine de degrés au-dessus de l’horizon ouest-nord-ouest.

Âgé de quarante heures, ce mince croissant est magnifique ; sa courbure semble posée en équilibre sur la bande crépusculaire orangée. Aux jumelles ou dans une lunette, le globe est perceptible, mais la lumière cendrée n’est pas assez puissante pour révéler les nombreuses mers de notre voisine.

Le mardi 8 avril au crépuscule, une heure et demie après la fin du jour, la Lune et les Pléiades vous attendent à l’Ouest, et c’est un rendez-vous à ne pas manquer.

Hier gracile, le croissant a épaissi et il navigue ce soir dans un ciel plus sombre, ce qui nous permet de mieux distinguer la lumière cendrée, cette lueur solaire réfléchie par notre planète vers son satellite.

Celle-ci rehausse le globe lunaire et donne un relief remarquable à la scène. Aux jumelles ou dans une lunette, les mers et les grands cratères de Séléné sont parfaitement visibles sous cet éclairage légèrement bleuté.

Les Pléiades dominent ces paysages de quatre petits degrés seulement, si bien qu’il est possible de voir la Lune et l’amas dans le même champ de jumelles.

Alors que le crépuscule s'assoupit et que la nuit s’impose, l’éclat scintillant des étoiles est de plus en plus intense et la scène gagne en beauté. Vous pouvez la contempler aussi bien en ville qu’en terrain dégagé, puisqu’elle se déroule à près de vingt degrés de hauteur.

D'autres conjonctions se produisent tout au long du mois à venir, retrouvez-les en détails dans Le Guide du Ciel 2007-2008.

Début mars, la comète 17P Holmes est passée dans le même champ que la nébuleuse Californie dans Persée.
© Michael Jaeger.

La comète 17P Holmes n'en finit pas de disparaître. Elle est encore dans la constellation de Persée jusqu'au 10 avril puis elle se faufile dans le Cocher.

Son éclat est proche de la magnitude 5 et seuls les observateurs qui bénéficient d'un ciel parfait peuvent encore espérer la distinguer sans aucun instrument.

Voir aussi la Lettre n° 08...

Le 21, soir de Pleine Lune, il ne faut rien de moins que la plus brillante étoile du ciel pour retenir votre attention. Sirius, l’étoile principale du Grand Chien, étincelle de toute la force de sa magnitude (- 1,47) au-dessus de l’horizon sud-ouest en début de nuit.

À l’œil nu, son éclat ponctuel est si violent qu’il paraît artificiel et que l’on s’attend à voir clignoter à ses côtés les phares rouge et vert d’un avion de ligne.

Dans une lunette ou un télescope parfaitement alignés, la turbulence atmosphérique engendre des sursauts lumineux de toutes les couleurs de l’arc-en-ciel, qui se propagent autour de cette véritable fontaine de lumière.

Cet éclat incomparable a deux causes : d’une part, Sirius est vingt-six fois plus lumineuse que le Soleil ; d’autre part, il s’agit de l’une des étoiles les plus proches de nous puisqu’elle ne se situe qu’à 8,6 années-lumière, soit à peine deux fois plus que Proxima Centauri, la première étoile après le Soleil.

Sirius possède une compagne de huitième magnitude, Sirius B, une étoile particulièrement chaude – plus de 24 800 Kelvin – de 0,98 masse solaire. Sirius et Sirius B tournent l’une autour de l’autre en 50,1 années à une distance qui varie de 8,1 à 31,5 unités astronomiques – 1 unité astronomique vaut un peu moins de cent cinquante millions de kilomètres, soit la distance moyenne de la Terre au Soleil.

Vue de la Terre, la séparation apparente entre ces deux astres est proche de huit secondes d’arc en 2008 et elle sera maximale lors de la période 2020-2025.

Dans un télescope de 250 mm, il devrait alors être possible de distinguer Sirius B à onze secondes d’arc de Sirius, même si celle-ci inonde le champ d’un éclat dix mille fois supérieur !

Le 23, la comète 26P Grigg-Skjellerup passe au plus près du Soleil (périhélie), à 167 millions de kilomètres.

26P Grigg-Skjellerup a une période de 5,31 ans. Elle a été découverte visuellement le 23 juillet 1902 par John Grigg (Nouvelle-Zélande) avec un instrument de 90 mm de diamètre, puis perdue et retrouvée par James Skjellerup (Afrique du Sud), le 17 mai 1922.

La magnitude de cette comète devrait rester au-delà de 12 lors de son passage au plus près de la Terre (0,55 UA, le 23 mars). Elle se situe alors dans la constellation du Sagittaire, assez mal placée pour les observateurs de l’hémisphère Nord, d’autant plus que la Lune gibbeuse décroissante est présente dans le ciel, mais, avec un instrument, il est tout de même envisageable de pointer cet astre vagabond.

Le 7 mars dernier, un observateur japonais a signaler la présence d'une nova de magnitude 8,2 dans la constellation du Cygne.

Elle est située très précisément ici : 19 h 58 m 33,57 s et + 29° 52' 11,6".

Cliquez sur la vignette voisine pour avoir une vue de sa position à grande échelle, puis cliquez sur les deux liens suivant pour la situer plus précisément sur des cartes de champ de l'AAVSO (American Association of Variable Star Observers) :

carte d'un champ de 5° avec indication des magnitudes des étoiles voisines jusqu'à 9.

carte d'un champ de 1° sur une image DSS.

Premières images, réalisées par Christian Buil.

Premiers spectres, réalisés par Mathew Beaky.

Autre spectre, réalisé avec un Celestron 11.

Retrouvez les autres occultations du mois, des conseils pour observer les plus fins croissants lunaires, des informations sur les comètes périodiques, des descriptions des formations lunaires bien placées en fonction des librations, les maxima des plus belles étoiles variables et bien d'autres choses encore dans la version papier du Guide du Ciel.

Les objets célestes détaillés ce mois-ci dans Le Guide du Ciel 2007-2008 : Messier 91, Messier 63, Gassendi, Messier 85, Messier 89, Endymion...

Vous pouvez prendre contact avec moi (mettre @ à la place de #) si vous désirez organiser une conférence dans les mois qui viennent.

19 mars 2008 : Ljubljana (Slovénie) - De la science à la vulgarisation scientifique : les éléments du langage.
1^er au 4 mai 2008 : 10^e Rencontres astronomiques du printemps (42) - L'utilisation des éphémérides | Vente et dédicace de la nouvelle édition du Guide du Ciel 2008-2009.
7 juin 2008 : Planétarium de Vaulx-en-Velin/Festiciel (69) - L'observation du ciel.
17 août 2008 : Festival Les chants du ciel (30) - Soleil noir en Mongolie.

Explorez les sites Web des astrophotographes dont je présente des images dans mes conférences : http://www.leguideduciel.net/ressources/images.php

Voici une présentation détaillées de quelques-uns des nombreux nouveaux schémas qui vous pourrez découvrir dans le prochain Guide du Ciel. Au total, ce sont plus de 350 cartes, schémas et photographies qui illustrent les 304 pages de cette nouvelle édition.

Notez également la présence des plus belles photographies lunaires réalisées ces derniers mois par Jean-Marc Lecleire, Paolo Lazzarotti et Wes Higgins.

Visibilité des planètes
Pour savoir d'un seul coup d'œil où et quand chercher les planètes. Exemple, en juin 2008 : Mercure est visible le matin à l'aube après le 25, au-dessus de l'horizon est-nord-est ; Vénus est visible le soir au crépuscule après le 25, au-dessus de l'horizon nord-ouest ; Mars est visible le soir au crépuscule tout au long du mois, de l'ouest à l'ouest-nord-ouest ; Jupiter se lève à la fin du crépuscule au sud-est et elle est visible jusqu'au matin, elle domine alors l'horizon sud ; Saturne est visible le soir au crépuscule et en début de nuit comme Mars, mais elle se couche un peu plus tard que la planète rouge.


La course des planètes
La carte ci-dessous (avril 2009) montre le déplacement des planètes au cours du mois par rapport aux constellations. La position de chaque planète est indiquée pour le 15 et, le cas échéant, une flèche matérialise la longueur et le sens de son déplacement. L’heure de passage au méridien vous indique à quel instant un astre – une planète ou une étoile – se situe à l’aplomb de l’horizon sud au milieu du mois ; le passage au méridien se produit une heure plus tard en début de mois et une heure plus tôt en fin de mois. Les astres présents sur la moitié gauche de cette carte sont observables le matin et à l’aube ; ceux qui se trouvent sur la moitié droite sont visibles le soir et au crépuscule. La partie la plus dense de la Voie lactée est représentée, ainsi que la bande des constellations zodiacales.




Planétaire
Dans la partie basse de cette projection héliocentrique (ci-dessous, le mois de juillet 2008), les orbites des planètes de Mercure à Neptune sont représentées à la même échelle. La partie supérieure est un agrandissement des orbites des planètes telluriques – Mercure, Vénus, Terre, Mars. Le maillage du plan de l’écliptique est de 5 unités astronomiques par case en bas et de 0,33 unité astronomique par case en haut. La portion de l’orbite de chaque planète située au nord du plan de l’écliptique est indiquée en trait gras. Équinoxes et solstices sont placés pour la Terre uniquement, avec la longitude héliocentrique correspondante. Les planètes sont positionnées le 15 du mois ; pour les planètes telluriques, la longueur et le sens de leur déplacement mensuel sont donnés. Téléchargez ici les longitudes héliocentriques et géocentriques quotidiennes des planètes pour l'année 2008.



Satellites de Saturne
Ces courbes représentent les trajectoires des principales lunes de Saturne : Encelade, Téthys, Dioné, Rhéa et Titan. La bande centrale symbolise le disque de cette planète et la zone grisée donne l’extension des anneaux. Chaque jour commence à 0 h TU. Selon l’inclinaison du système de Saturne vu depuis la Terre, certaines des lunes peuvent être occultées ou éclipsées par le disque ou les anneaux de la planète. Naturellement, dans Le Guide du Ciel, ce schéma est en bleu et blanc, pas en couleurs. Exemple : le mois de juin 2008.

Des infos sur...

Activité solaire et phénomènes atmosphériques et astronomiques
Spaceweather est LE site qu'il faut avoir dans son carnet d'adresse et auquel il faut rendre visite chaque jour pour voir les dernières images du ciel prises par des amateurs sur toute la planète et des infos chiffrées sur l'activité de notre étoile.
http://www.spaceweather.com/

Calendrier journalier de 2007 à 2009
L'un des innombrables fichiers qui me servent à préparer la version papier du Guide du Ciel.
http://www.leguideduciel.net/indexgc.php

Dernières comètes découvertes
Le site de l'Union astronomique internationale (UAI ou IAU) avec tous les éléments orbitaux et les éphémérides des comètes potentiellement observables.
http://cfa-www.harvard.edu/iau/Ephemerides/Comets/index.html

Dernières novae découvertes
Le site de l'Union astronomique internationale (UAI ou IAU) avec les éphémérides des dernières novae.
http://www.cfa.harvard.edu/iau/Headlines.html

Dernières supernovae découvertes
Le site de l'Union astronomique internationale (UAI ou IAU) avec les éphémérides des dernières supernovae.
http://www.cfa.harvard.edu/iau/lists/RecentSupernovae.html

Éclipses de Lune et de Soleil
Les cartes et les horaires des prochaines éclipses observables dans le monde, avec des liens vers les sites de Fred Espenak (NASA) et de l'Imcce pour plus de détails.
http://www.leguideduciel.net/ephemerides/eclipses.php

Éphémérides quotidiennes des planètes
En complément de la version papier du Guide du Ciel, je mets à votre disposition chaque mois des fichiers au format pdf avec les éphémérides quotidiennes des planètes pour 45° de latitude nord et 0° de longitude.
http://www.leguideduciel.net/indexgc.php

Jour julien en 2008
L'un des innombrables fichiers qui me servent à préparer la version papier du Guide du Ciel.
http://www.leguideduciel.net/indexgc.php

Longitudes héliocentriques et géocentriques des planètes et du Soleil en 2008
L'un des innombrables fichiers qui me servent à préparer la version papier du Guide du Ciel.
http://www.leguideduciel.net/indexgc.php

Occultations d'étoiles par des astéroïde
Le site tenu à jour par Éric Frappa, vous dit tout ce qu'il faut savoir pour observer ces phénomènes.
http://www.euraster.net/

Phases de la Lune de 2002 à 2008
L'un des innombrables fichiers qui me servent à préparer la version papier du Guide du Ciel.
http://www.leguideduciel.net/indexgc.php

Phénomènes astronomiques jour par jour
Cette page vous donne accés à tous les phénomènes publiés dans le Guide du Ciel depuis le mois de mai 2001.
http://www.leguideduciel.net/indexgc.php

Temps sidéral moyen de Greenwich en 2008
L'un des innombrables fichiers qui me servent à préparer la version papier du Guide du Ciel.
http://www.leguideduciel.net/indexgc.php

Trajectoires des satellites de Jupiter
Les courbes mensuelles des satellites galiléens de Jupiter.
http://www.leguideduciel.net/ephemerides/schemas/200803Jup.jpg

Trajectoires des satellites de Saturne
Les courbes mensuelles des principaux satellites de Saturne.
http://www.leguideduciel.net/ephemerides/schemas/200803Sat.jpg

Découvrez des extraits des pages "Les phénomènes astronomiques au jour le jour" du Guide du Ciel 2007-2008 :
http://www.leguideduciel.net/ephemerides/jpj200803.php

Vous n'avez plus que quelques jours – jusqu'au 20 mars inclus – pour participer à l'offre de souscription pour Le Guide du Ciel 2008-2009.

Si vous n'avez pas déjà reçu cette offre, je vous propose de la découvrir avant le 20 mars sur le site d'amds édition :

L'offre de souscription pour Le Guide du Ciel 2008-2009

Après le 20 mars, vous pourrez pré-commander votre exemplaire au prix public de 29 € TTC plus la participation aux frais d'emballage et d'expédition.

Quelques informations...
Cette édition accueillera notamment 16 pages supplémentaires d’éphémérides et de rendez-vous célestes, avec de nouveaux schémas (courbes mensuelles des satellites de Saturne, projections héliocentriques mensuelles, projections de Mercator mensuelles des mouvements du Soleil et des planètes, visibilité mensuelle des planètes, variations annuelles de la magnitude et du diamètre apparent des planètes, champ de mise en station polaire, etc.)

... et quelques chiffres :
Quatorzième année de parution,
Plus de 140 000 exemplaires vendus depuis 1995,
304 pages, format 17 x 24 cm, bichromie,
Plus d’un millier de rendez-vous célestes,
(découvrez la liste de tous les sujets traités au fil des pages en cliquant ici)
Près de 200 000 mots, des dizaines d'heures de lecture,
Des centaines de cartes, de schémas et de photographies,
Les caractéristiques et les prix de plus de 500 instruments de 80 € à 999 000 €,
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