La lettre du Guide du Ciel

N° 56 | 28 septembre 2011

De très nombreux passages de la Station spatiale internationale (ISS) sont observables en France métropolitaine en fin de nuit jusqu'au 10, puis en début de nuit après le 15.
Crédit image : NASA

De très nombreux passages de la Station spatiale internationale (ISS) sont observables en France métropolitaine en fin de nuit jusqu'au 10, puis en début de nuit après le 15 octobre.

L'éclat de l'ISS est suffisamment puissant lors des meilleurs passages pour qu'elle soit visible dans un ciel bleu avant même le coucher du Soleil ou peu après son lever ; le site Heavens-Above annonce également ce genre de passages.

Pour savoir précisément où et quand observer les survols de l'ISS, consultez le site Heavens-above. En vous inscrivant (c’est gratuit), vous pouvez mémoriser des points d'observation différents et obtenir rapidement des cartes et des horaires de passage très précis. Le site d’Alphonse Pouplier donne aussi des horaires de passages :

Le site d'Alphonse Pouplier
Heavens-Above
Aide en ligne pour vous inscrire sur le site Heavens-Above

1^er octobre | Un rubis sous le croissant

Le samedi 1^er octobre au crépuscule, une heure après la fin du jour, tenez-vous devant un horizon sud-ouest libre de tout obstacle naturel ou artificiel et découvrez le point orangé de l’étoile Antarès du Scorpion juste en dessous de la Lune.

En ce début de lunaison, notre voisine nous présente un joli croissant dont l’éclat n’efface pas encore la délicate lumière cendrée qui révèle la portion nocturne de son globe. Les deux astres sont à près de trois degrés d’écart, soit à peu près la largeur de votre pouce bras tendu, et ils tiennent donc sans souci dans le même champ de jumelles, voire dans le même champ pour certaines lunettes.

Si vous avez la chance d’observer ce rendez-vous dans une atmosphère limpide et stable, vous pourrez suivre ces astres durant le crépuscule et profiter de l’assombrissement du ciel pour voir apparaître d’autres étoiles.

Vous distinguerez peut-être même un petit joyau stellaire juste à côté d’Antarès. Il s’agit d’un amas globulaire appelé Messier 4 par l’astronome français du XVII^e siècle Charles Messier.

Le Soleil s'active et les aurores arrivent

L’activité solaire s’emballe en ce début d’automne. De plus en plus de taches sont visibles sur le disque de notre étoile, certaines suffisamment vastes pour être perceptibles à l’œil nu avec un filtre adéquat.

L’apparition de ces taches est accompagnée de nombreuses éruptions qui projettent d’énormes quantités de matières dans l’espace et cela influence directement le rythme et l’intensité des aurores polaires observables sur Terre.

Fin septembre, des aurores boréales ont été signalées aux États-Unis et en Europe jusqu’à près de 43° de latitude. Encore très discrètes, elles pourraient prendre de l’ampleur à l’occasion d’éruptions solaires plus puissantes et je vous conseille donc de surveiller le ciel en période de Nouvelle Lune si vous avez la chance d’habiter ou d’observer dans une région préservée de la pollution lumineuse.

Vous pouvez suivre la « météo solaire » et les annonces d’aurores polaires sur le site www.spaceweather.com.

Vous pouvez admirer les éruptions solaires, pratiquement en temps réel, sur le site de la sonde SDO et leur expansion dans l’espace sur le site de la sonde SOHO.

Je vous conseille également de visionner cette courte séquence vidéo filmée depuis la Station spatiale internationale et montrant le survol d'une aurore polaire.   

2 octobre | Une merveille dans la Baleine

Le dimanche 2 octobre à l’aube, deux heures avant le lever du Soleil sur les terres automnales, découvrez la merveille de la Baleine.

Il s’agit de l’étoile variable Omicron Ceti – surnommée Mira Ceti – qui n’est visible à l’œil nu que durant quelques semaines tous les dix mois environ.

Depuis la mi-septembre, nous traversons l’une de ses périodes de visibilité et je vous invite à la chercher non loin de Jupiter.

Il vous faut un horizon sud-ouest dépourvu de lumières parasites si possible. Durant l’automne, la grande constellation de la Baleine se lève en cours de soirée et vous pouvez la repérer jusqu’au petit matin.

Son dessin est délimité par des étoiles assez peu lumineuses et délicates à voir dans un environnement urbain. Elle s’étend au sud des Poissons et du Taureau, loin sur la droite d’Orion.

L’éclat de Mira Ceti devrait être proche de la magnitude 3 actuellement, c’est-à-dire comparable à celui de l’étoile la moins brillante du W de Cassiopée ou à celui de Megrez, l’astre qui se situe à la base du manche de la Casserole.

Nuit du 8 au 9 octobre | Les pépites des Draconides

Je vous conseille de consacrer quelques minutes à l’observation du ciel au cours de la nuit du samedi 8 au dimanche 9 octobre.

Les spécialistes des étoiles filantes prévoient en effet cet automne une belle prestation de l’essaim des Draconides. D’après leurs simulations numériques, notre planète devraient frôler en fin de soirée la traîne de poussières laissées sur son orbite par la comète Giacobini-Zinner.

Si cela se confirme, nous pourrions admirer plusieurs dizaines, voire plusieurs centaines d’étoiles filantes au cours de la nuit. Ces prévisions ne sont pas encore d’une fiabilité absolue mais, ces dernières années, les sursauts d’activité de plusieurs essaims d’étoiles filantes ont pu être annoncés, donc, si le ciel qui vous domine est sans nuages, n’hésitez pas à scruter la région de la tête du Dragon.

Elle domine l’horizon nord-ouest à la fin du crépuscule et reste relativement bien placée jusqu’à l’aube. Durant la soirée, l’éclat abondant de la Lune gibbeuse croissante qui est installée de l’autre côté de la voûte céleste peut s’avérer gênant, mais cette gêne s’estompe en seconde partie de nuit.

Pour en savoir plus
Extrait du Guide du Ciel 2011-2012

Nous devrions assister à un très fort sursaut d’activité de l’essaim des Draconides au cours de la nuit du 8 au 9 octobre 2011. Cet essaim d’étoiles filantes est associé à la comète périodique 21P Giacobini-Zinner (période de 6,6 années), qui sera au périhélie le 11 février 2012. Pratiquement inexistant en temps normal, il offre généralement de très belles prestations lors du retour de sa comète.

En 1998, un bon mois avant son passage au périhélie, des observateurs japonais ont eu la chance de profiter d’un maximum exceptionnel, avec près de 700 étoiles filantes par heure pendant deux heures. Cet essaim s’est surtout illustré au siècle dernier à l’occasion de deux tempêtes d’étoiles filantes devenues célèbres, en 1933 et en 1946, avec des taux atteignant 10 000 météores par heure ! Dans les deux cas, il semble que ces tempêtes exceptionnelles aient été provoquées par le passage de la Terre au sein des poussières relâchées par 21P Giacobini-Zinner lors de son passage au périhélie de 1900.

D’après les calculs et les simulations informatiques réalisés par Jérémie Vaubaillon (IMCCE), le 8 octobre 2011, la Terre devrait traverser plusieurs traînées laissées par cette comète au fil du dix-neuvième siècle et au début du vingtième siècle, dont celle de 1900. Selon lui, il devrait se produire deux pics particulièrement intenses : le premier centré sur 17 h 09 m et le second sur 19 h 57 m (en temps universel).

Si le premier pic arrive avant le coucher du Soleil pour les observateurs installés à l’ouest de l’Europe, le second, en revanche, est remarquablement bien placé dans le temps et dans l’espace puisque le radiant, qui se situe à côté de la tête du Dragon, dominera l’horizon nord-ouest de plus de 50°.

Seul bémol, la Lune ! Elle sera gibbeuse croissante (90 %) et surplombera l’horizon sud-est d’une trentaine de degrés, dans le Verseau. Autre contrainte : les conditions météorologiques, qui sont souvent défavorables en France métropolitaine à cette saison.

Les prévisions des autres spécialistes mondiaux recoupent celles du chercheur français avec quelques divergences sur les heures annoncées pour les pics, mais il semble évident pour tous qu’il devrait bien se produire un net sursaut des Draconides le 8 octobre entre 16 h et 23 h (temps universel). Quelle sera l’ampleur de ce sursaut ? Là est toute la question !

Pour Jérémie Vaubaillon, jusqu’à 600 étoiles filantes par heure pourraient être visibles dans les meilleures conditions lors du second pic. Pour d’autres, nous pourrions alors atteindre péniblement 100, ou encore largement dépasser 1 000… Il n’y a qu’un moyen de le savoir, c’est d’observer !

Les professionnels se mettront à l’abri du mauvais temps en embarquant à bord d’avions qui survoleront les zones les plus favorables. Pour les amateurs qui resteront cloués au sol, il faut espérer une belle soirée automnale ou partir vers le sud-est du bassin méditerranéen : Chypre, la Crète et la Turquie offrent généralement de très belles conditions météorologiques à cette époque de l’année et on y trouve des sommets extrêmement favorables à l’observation de la voûte céleste.


Parlons photo !
Pour photographier les étoiles filantes, je vous conseille de travailler avec un boîtier reflex numérique à haute sensibilité, entre 1 600 et 3 200 ISO, et d’adapter la durée de la pose pour que l’image ne soit pas surexposée. Avec un ciel fortement éclairé par la Lune gibbeuse croissante, on peut généralement réaliser des poses de quelques secondes qui font apparaître toutes les étoiles visibles à l’œil nu dans un beau ciel bleu.
L’avantage de réaliser des poses courtes avec un objectif grand-angle est que les étoiles restent ponctuelles, la rotation de notre planète n’a pas le temps de les étirer visiblement. Avec une carte mémoire d’une bonne capacité (8 à 16 Go) et une batterie pleinement chargée, vous pouvez engranger des dizaines d’images consécutives et capturer toutes les étoiles filantes qui se présentent. Il reste ensuite à choisir la plus belle image du lot ou à additionner certaines images en recalant les étoiles pour synthétiser plusieurs minutes ou plusieurs heures d’observation sur un seul document.

Nuit du 13 au 14 octobre | Jupiter dans l’éclat de Séléné

Passez la nuit du jeudi 13 au vendredi 14 octobre en compagnie de Jupiter et de la Lune !

Deux semaines avant son opposition, la planète est déjà extrêmement brillante et elle peut tenir tête à l’inondation lumineuse d’une Lune gironde.

Moins de deux jours après sa plénitude, alors qu’elle s’ovalise à peine, notre compagne nocturne passe toute la nuit à moins de sept degrés du dieu du Ciel, de la Lumière et des Éléments.

Les deux astres se lèvent à l’est dans un ciel grisonnant durant le crépuscule et ils dominent la vague rosée de la ceinture de Vénus au-dessus de l’horizon ouest à l’aube. Installés dans la petite constellation du Bélier, Jupiter et Séléné semblent écraser la voûte céleste de leur éclat en milieu de nuit.

Le vendredi 21 et le samedi 22 octobre en fin de nuit, deux heures avant l’embrasement du jour, un gros croissant de Lune rend une visite lointaine à la planète rouge.

Celle-ci vient de quitter la constellation du Cancer et elle glisse, matin après matin, en direction de l’étoile Régulus.

Il y a un mois environ, l’étoile principale du Lion était plus brillante que Mars, mais la situation s’est inversée car nous nous rapprochons chaque jour un peu plus de ce monde désertique, ce qui augmente son diamètre apparent et donc son éclat.

Mars et Régulus seront côte à côte, à près d’un degré d’écart, le mois prochain ; elles formeront alors un très beau couple, facile à repérer à l’œil nu loin au-dessus de l’horizon sud-est à l’orée de l’aube.

Le vendredi 28 octobre au crépuscule, une petite heure après le départ du Soleil, il vous faut impérativement trouver un horizon sud-ouest lointain et dégagé si vous souhaitez distinguer le mince croissant lunaire sur la gauche du point vénusien.

Les deux astres se situent en effet à moins de cinq degrés de hauteur et le moindre arbre ou bâtiment pourrait les occulter.

Près de deux jours après la Nouvelle Lune, l’arc de Séléné est bien visible à l’œil nu, mais le fond du ciel est encore trop clair pour qu’il soit possible d’admirer une belle lumière cendrée.

Sachez que, à quelque deux degrés sous Vénus, Mercure est également présente dans cette scène crépusculaire, mais il faudra une atmosphère parfaitement limpide pour parvenir à la repérer sans instrument au ras de la ligne d’horizon.

D'autres conjonctions se produisent tout au long du mois à venir, retrouvez-les en détails dans Le Guide du Ciel 2011-2012

Le Ciel à l’œil nu en 2012
Dixième année
Mise en vente le 6 octobre

Si vous voulez découvrir ou soutenir mon travail,
vous pouvez réserver un ou plusieurs exemplaires
dès aujourd'hui sur le site d'amds édition
(paiement sécurisé en ligne ou par chèque).

Des dizaines d’images inédites, plus de soixante-dix rendez-vous célestes à admirer à l’œil nu du mois de janvier au mois de décembre 2012.









Si ce livre vous incite à lever les yeux plus souvent vers la voûte céleste, à contempler plus régulièrement la Lune et les planètes, les constellations et leurs étoiles, il aura atteint son but.

Un livre sans précédent vous racontant l'histoire de la découverte de l'Univers
et dénonçant les dérives de la cosmologie officielle actuelle.

Quand et comment est née la science moderne ?
Qui était Galilée ? Newton ? Einstein ? Friedmann ? Lemaître ? Hubble ?
Qu’est-ce que la gravitation ?
Comment s'énonce le principe de relativité ?

Comment mesure-t-on la distance des planètes, des étoiles et des galaxies ?
Quelle est la taille de l’Univers ? Où s’arrête-t-il ?
Pourquoi l'Univers présente-t-il une partie visible et une partie invisible ?

Comment comprendre son expansion ?
Qu’est-ce que le Big Bang ? le Big Crunch ?
Comment se sont formés les divers éléments chimiques ?

Existe-t-il une matière invisible ?
L'infini existe-t-il ?
L’Univers est-il fait pour l’Homme ?
Sommes-nous seuls dans l’Univers ?
 
Pouvons-nous tout comprendre ?
La nature est-elle soumise à des lois supérieures ?
Quelles sont les découvertes récentes de la science ?
La science peut-elle encore progresser ?

Christian Magnan répond à ces questions en déroulant de façon abordable l’histoire de la découverte de l’Univers. Il procède en outre à une remise à l’heure décapante des théories officielles actuelles sur le cosmos. L'auteur montre que les cosmologistes se sont engagés dans des voies sans issue en se lançant dans des spéculations stériles sur la matière noire et l’énergie noire et en manipulant des concepts dénués de signification physique comme l’infini ou la présence d’autres univers. Il ose poser la question : après quatre cents ans d’existence, la science moderne est-elle en train de mourir, étouffée par un productivisme effréné dopé à l'informatique et une foi inconsidérée dans des modèles numériques déconnectés du réel ?

Adoptant un point de vue scientifique et rationnel et refusant toute intrusion spiritualiste, il présente une lecture nouvelle de la réalité des choses. Grâce à son délicieux « théorème du jardin », il fait voler en éclats les arguments des partisans du principe dit anthropique, selon lequel l’Univers aurait été taillé sur mesure afin d’y faire naître la vie.  Il met au contraire en lumière le caractère insignifiant et accidentel de l’espèce humaine à l’échelle cosmique et plaide pour que la réflexion intègre cet état de fait et en tire les conclusions qui s’imposent.


Christian Magnan a été l’élève des fondateurs de l’astrophysique française d’après-guerre, comme Évry Schatzman, et a été nourri de la rigueur de pensée, du savoir-faire et du souci de vérité de ces pionniers. Spécialiste de l’analyse du rayonnement des étoiles, il a étendu ses études à la cosmologie en se livrant à l’examen d’un discours officiel dictatorial qu’il révèle infondé. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont La Science pervertie, et tient un site web, www.lacosmo.com. Chercheur du Collège de France, il a travaillé à l’Institut d’astrophysique de Paris et à l’université de Montpellier.

Prix public à parution (15 novembre 2011) : 22 euros
Prix de souscription jusqu’au 14 novembre 2011 : 16 euros
Frais de port offerts pour la France métropolitaine et la Corse.

La chronique Bleu nuit que j'enregistre avec Philippe Moity sur France Bleu Hérault est diffusée le samedi matin vers 10 h 40 m et le dimanche.

L'habillage sonore est joyeusement décalé – extraits de vieux films et de séries de science-fiction –, mais le contenu est sérieux (enfin, essaie de l'être !). Chaque semaine, je signale un ou deux phénomènes à observer dans les jours qui vont suivre et je réponds aux questions de base et d'actualité de Philippe Moity.

Si vous n'habitez pas à portée d'antenne de cette station, vous pouvez néanmoins écouter Bleu nuit durant les sept jours qui suivent sa diffusion en vous rendant sur le site de France Bleu Hérault dans le menu France Bleu à la demande ; d'après les statistiques de France Bleu, vous êtes plus de 2 000 à le faire chaque mois, un grand merci de votre intérêt fidèle :

http://www.radiofrance.fr/chaines/france-bleu/?nr=8dc942202aa447a40487975f8cb0ca20

Des infos sur...

Activité solaire et phénomènes atmosphériques et astronomiques
Spaceweather est LE site qu'il faut avoir dans son carnet d'adresse et auquel il faut rendre visite chaque jour pour voir les dernières images du ciel prises par des amateurs sur toute la planète et des infos chiffrées sur l'activité de notre étoile.
http://www.spaceweather.com/

Dernières comètes découvertes
Le site de l'Union astronomique internationale (UAI ou IAU) avec tous les éléments orbitaux et les éphémérides des comètes potentiellement observables.
http://cfa-www.harvard.edu/iau/Ephemerides/Comets/index.html

Dernières novae découvertes
Le site de l'Union astronomique internationale (UAI ou IAU) avec les éphémérides des dernières novae.
http://www.cfa.harvard.edu/iau/Headlines.html

Dernières supernovae découvertes
Le site de l'Union astronomique internationale (UAI ou IAU) avec les éphémérides des dernières supernovae.
http://www.cfa.harvard.edu/iau/lists/RecentSupernovae.html

Éclipses de Lune et de Soleil
Les cartes et les horaires des prochaines éclipses observables dans le monde, avec des liens vers les sites de Fred Espenak (NASA) et de l'Imcce pour plus de détails.
http://www.leguideduciel.net/ephemerides/eclipses.php

Occultations d'étoiles par des astéroïde
Le site tenu à jour par Éric Frappa, vous dit tout ce qu'il faut savoir pour observer ces phénomènes.
http://www.euraster.net/

Phases de la Lune de 2002 à 2011
L'un des innombrables fichiers qui me servent à préparer la version papier du Guide du Ciel.
http://www.leguideduciel.net/indexgc.php

Phénomènes astronomiques jour par jour
Cette page vous donne accés à une sélection dles phénomènes publiés dans le Guide du Ciel depuis le mois de mai 2001.
http://www.leguideduciel.net/indexgc.php

Trajectoires des satellites de Jupiter
Les courbes mensuelles des satellites galiléens de Jupiter.
http://www.leguideduciel.net/ephemerides/satellites.php

Trajectoires des satellites de Saturne
Les courbes mensuelles des principaux satellites de Saturne.
http://www.leguideduciel.net/ephemerides/satellites.php

Découvrez des extraits des pages "Les phénomènes astronomiques au jour le jour" du Guide du Ciel :
http://www.leguideduciel.net/indexgc.php