« Plus qu’un classique, le Guide du Ciel est désormais un indispensable… » Ciel & Espace
|
Chère Amie, Cher Ami, Cette année, exceptionnellement, |
|
Je peux personnellement dédicacer chacun de ces livres à votre nom ou à celui d'un de vos proches. J'ai choisi aussi de prendre à ma charge les frais d'envoi afin que vous ne supportiez pas de coût supplémentaire. Je vous souhaite une passionnante année d'observations astronomiques et de découvertes. Amicalement, Guillaume Cannat |
Avant tout passionné du ciel et de ses spectacles, Guillaume Cannat observe et fait observer les astres depuis près de trente ans sous tous les ciels de la planète, à l'occasion des grands phénomènes astronomiques (comètes, éclipses de Soleil, aurores boréales, etc.). Fasciné par l'observation de la Lune et des planètes, des nébuleuses et des galaxies, il a construit plusieurs télescopes – de 210 à 760 mm de diamètre – pour parcourir la voûte céleste avec ses enfants, ses amis et nombre d’astronomes amateurs. Il est l’auteur, chez Nathan, de plusieurs ouvrages pour les jeunes et d’un guide annuel de l’observation du ciel à l’oeil nu qui vient de recevoir le Prix Spécial du livre de l'Astronomie 2006. Guillaume Cannat collabore
également à divers journaux scientifiques.
La presse
et le Guide du Ciel
« Plus qu’un classique,
le Guide du Ciel est désormais un indispensable… »
Ciel & Espace
« Un livre absolument indispensable pour tous ceux qui aiment observer et photographier le ciel nocturne ! »
Chasseur d’Images
« Si vous voulez savoir tout ce qui se passe autour et au-delà de notre planète, ce livre est pour vous. »
Alpinisme & randonnées
« Visiblement arrivé à maturité, il est à ce jour (et de loin !) l’ouvrage le plus complet pour tout connaître des événements astronomiques à observer, sans se compliquer la vie. »
Astronomie Magazine
« Compagnon indispensable du randonneur des étoiles et des planètes. »
Espace Magazine
« En dix ans, ce guide est devenu indispensable aux curieux du ciel.»
La Recherche
« Comme chaque année […], Guillaume Cannat nous offre ce guide, devenu indispensable
aux observateurs des cieux. »
Sciences et Avenir
« C’est la bible de l’observation astronomique ! »
Objectif photos
• Le programme complet des phénomènes astronomiques.
• TOUTES les conjonctions et les anniversaires importants.
• Les éphémérides du Soleil, des planètes et de la Lune.
• Des centaines de schémas, de cartes et de photos !
Pour la douzième édition du Guide du Ciel, nous avons sélectionné un nouveau caractère pour faciliter la lisibilité et la recherche des informations contenu dans le guide durant vos observations nocturnes ! Nous avons aussi rajeuni la maquette et vous découvrirez de nouvelles cartes du ciel mensuelles, plus détaillées.
Cette édition couvre la période du début du mois de juin 2006 aux premiers jours de juin 2007. Elle vous permettra d'admirer une multitude de rendez-vous planétaires et lunaires éparpillés au fil des crépuscules et des nuits, de préparer toutes les prochaines éclipses de Soleil et de Lune, de suivre un transit de Mercure devant le disque solaire et d'apprécier plusieurs occultations de Saturne par notre satellite.
L’astronomie : un loisir au quotidien.De A comme Actualités à Z comme Zénith, des dizaines d’entrées, des centaines d’adresses, de numéros de téléphone et de sites Web pour pratiquer l’astronomie sans souci tout au long de l’année. Quelque 350 clubs, planétariums et observatoires en France, en Belgique, au Québec et en Suisse.
Tous les spectacles célestes
de juin 2006 à juin 2007
• Des éclipses de Lune et de Soleil• Des occultations de Saturne
• Des dizaines de rencontres planétaires et lunaires.
Savoir s’équiper pour l’observation.• Des jumelles aux télescopes, de 80 à 990 000 euros,
les caractéristiques techniques et les prix de tous les instruments disponibles sur le marché.• Comment les choisir ?
• Où se les procurer ?
• Comment les utiliser ?
Extrait du Guide du Ciel 2006 - 2007
À plusieurs reprises dans le cours d’une année, des conditions météorologiques favorables produisent une journée ou une nuit, parfois quelques heures seulement, d’une qualité exceptionnelle. La transparence du ciel est alors parfaite, la turbulence pointe au chômage et les observations instrumentales donnent le tournis ! Un bon test pour juger de la transparence atmosphérique consiste à cacher le Soleil avec une main, bras tendu : si le ciel visible autour de votre paume est parfaitement bleu, c’est un très bon signe. Vous pouvez affiner le résultat de ce test en faisant glisser notre étoile derrière le pouce ou l’index. Lorsque l’atmosphère est d’une pureté parfaite, sa lumière n’est pratiquement pas diffusée et le ciel visible de part et d’autre n’a rien d’éblouissant. De telles conditions, dites « coronales », sont très rares en plaine, mais on les rencontre régulièrement en altitude.
Le 11 janvier 2006 au matin, près de Montpellier, j’ai bénéficié d’un ciel pratiquement coronal. La nuit avait été froide et toute l’humidité des jours précédents s’était déposée sous forme de magnifiques petites paillettes de givre de plusieurs millimètres de long qui enveloppaient tout. Saisissant l’occasion, je sortis mon matériel d’observation solaire habituel – une lunette Coronado PST de 40 mm de diamètre – et installai à côté la lunette Coronado SolarMax de 90 mm que l’entreprise Meade m’avait alors prêtée pour un test. Ces deux instruments ne laissent passer qu’une infime portion du rayonnement solaire dans la longueur d’onde de la raie principale de l’hydrogène, appelée « H-alpha », ce qui permet une observation en continu de la chromosphère solaire, avec ses taches, ses éruptions, ses filaments et ses protubérances.
En ce mois de janvier, l’activité de notre étoile était toute proche du minimum et le PST révélait seulement deux petites régions éruptives, avec un long filament au centre du disque, ressemblant au signe que l’on utilise pour désigner une intégrale en mathématique. Changeant d’instrument, j’eus le souffle coupé! J’avais choisi un oculaire qui me montrait une image de la même taille qu’avec le PST, mais sa luminosité et l’accroissement du nombre des détails visibles étaient stupéfiants ; je n’avais jamais vu aussi bien l’astre du jour en direct. L’absence de turbulence s’y prêtant, j’augmentai le grossissement et la sensation de relief du globe solaire s’accentua ; j’avais l’impression de survoler les replis ouvragés de la chromosphère, d’où s’échappaient, çà et là, des flammèches ardentes. Quant à « l’intégrale éruptive », elle semblait bondir vers moi.
Optiquement, cet énorme gain dans l’observation était normal, le Coronado SolarMax 90 collectant cinq fois plus de lumière et offrant une bien meilleure résolution que le PST. En outre, le modèle que l’on m’avait prêté était équipé d’un filtre H-alpha d’une bande passante deux fois plus étroite que celle du PST. Mais la qualité des conditions météorologiques m’avait permis de le pousser dans ses ultimes limites et d’obtenir des images d’une richesse étonnante en période de minimum solaire ; l’ensemble me laissait présager des perspectives fascinantes pour le prochain maximum d’activité, en 2011-2012…
Commandez maintenant
|